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L’ histoire du Mas Joyeux




Un rêve de maison,
la maison de mes rêves !
Aimez-vous les histoires vraies ? Si oui, alors je vais légèrement soulever le rideau pour vous faire entrer en partie dans les coulisses du Mas Joyeux, en vous invitant à lire ces quelques chapitres.
Une nuit, en janvier 2004, alors que je vivais sur Nîmes avec mes enfants, je fis le rêve d’une très jolie maison construite toute en pierres apparentes; elle n’avait pas de volets, les fenêtres étaient à petits carreaux et leurs rebords en grosses briques rouges anciennes. À la droite de la maison, j’apercevais une piscine où le soleil se reflétait sur une eau cristalline sans vague ni remous. Et c’est à ce moment-là, que je me suis réveillée.
Laissez-moi vous dire que depuis fort longtemps, je cherchais à acquérir une maison et en visitais régulièrement mais à chaque fois les portes se fermaient pour différentes raisons.
Environ trois semaines après ce rêve, une nouvelle visite m’attendait. Entre temps, ayant appris par relation qu’un jeune propriétaire sur Marseille vendait sa maison dans les Cévennes, je pris donc contact avec ce dernier pour la visiter. Il me donna rendez-vous à un rond-point au petit village, Les Mages. Tout en le suivant en voiture, en mon for intérieur je me dis : « Tu ne vois pas que ce soit la maison du rêve !… Mais non, espèce d’imbécile, roule !»
La maison du rêve
Arrivés à St Florent-sur-Auzonnet, nous traversons de moitié le village avant que le propriétaire ne mette son clignotant pour tourner à gauche. L’entrée à la propriété était étroite et le chemin creusé par les pluies cévenoles y laissant de profondes ornières, et devant moi quelle ne fut pas mon étonnement de voir la maison de mon rêve, mais sans la piscine.
Je n’en croyais pas mes yeux, pince-moi je rêve… ! Je descendis de mon véhicule pour rejoindre le propriétaire sans lui en dire un mot. La maison semblait être à l’abandon et il me fit entrer juste en poussant la porte sans même donner un tour de clé. À l’intérieur, je tombe sous le charme des belles poutres en bois au plafond, de la cheminée; ainsi que d’une pièce plein sud avec une vue sur la montagne…
Une fois la visite terminée, nous nous retrouvions dehors pour voir le terrain, ouah… un vrai campement de bazars, vieilles caravanes moitié désossées, accessoires auto, moteurs, bidons d’huile, pneus usés, batteries, outils… et j’en passe. Je pensais que la visite était terminée, lorsque le propriétaire attira mon attention sur un vieux Mas en ruine, coiffé d’une moitié de toiture, idéal pour dormir à la belle étoile. « Voulez-vous le visiter malgré tout, me demanda-t-‘il ? » « Oui, bien sûr allons-y. » À la queue leu-leu, nous montions les marches en pierres pour arriver dans les hauteurs du Mas. Faites attention, le restant des tuiles et de la charpente peuvent tomber.
J ‘escaladais des monceaux de gravats pour y apercevoir des murs délabrés sans pignon, des morceaux de fenêtres qui battaient au vent et tenues parfois par un seul gond, des semblants de portes qui grincent à la moindre ouverture, des sols en terre battue et une odeur de moisi dans certaines pièces. Bref, il y aurait eu de quoi prendre ses jambes à son cou et déguerpir à toute vitesse. Mais ce ne fut pas mon cas, au contraire, je me projetais dans ce Mas en ruine en y voyant le potentiel une fois rénové.
Achat et rénovation du mas
Avant de signer l’acte notarié et après bien des péripéties à rebondissements il m’ aura fallu 18 mois avec persévérance pour garder le cap jusqu’à la signature finale. Ensuite je me suis attelée durant des années en mouillant des chemises, y laissant des seaux de sueur, des nuits blanches pour y dessiner les plans, une déchirure musculaire en portant un sac de plâtre de 40 kg sur l’épaule, de la fatigue et de l’épuisement en montant les portes, les fenêtres, les cloisons en siporex, en décroûtant les murs au burineur pour les jointoyer à l’ancienne… sortir 21 tonnes de gravats réparties en 3 camions de 7 tonnes pour renforcer le circuit de Pôle Mécanique sur Alès…
Vous comprendrez aisément qu’il m’ est impossible de vous raconter en quelques mots toutes ces années passées à la restauration du Mas, la ténacité et la Foi que j’ai dû déployer rien que pour acheter cette propriété sans le sou. Comment est-ce possible me direz-vous ? Et pourtant ! Si un jour vous souhaitez venir y passer un séjour, ou simplement êtes désireux de connaître la suite, c’est avec plaisir que je vous raconterai comment une banque à pu me prêter 130.000 euros, sans revenu, ni apport.
Le Mas Joyeux, depuis sa rénovation a accueilli des dizaines de personnes dont un bon nombre d’entre elles, homme ou femme, ont eu les larmes aux yeux le jour de leur départ. Elles avaient du mal à quitter ce lieu vraiment habité d’une Paix surnaturelle.
Je vous laisse un méli-mélo de photos qui vous parleront d’elles-mêmes du avant et après…
Pour la petite histoire sur le nom du Mas datant du 17e siècle, en fouillant dans les Archives de Nîmes, j’ai découvert qu’il appartenait à une famille portant le nom : Joyeux !



Diaporama photo de la ruine
au gite actuel
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